Jeudi 4 octobre
Réveil tôt, la circulation urbaine est bien présente, après le vidage des poubelles dans la nuit. Pas trop froid, finalement, avec mon petit sac de couchage.
8h, c'est l'heure de partir, vers un café qui va réveiller les neurones.
Bien dormi, malgré le béton brut, la fatigue était là.
C'est quand même une bonne manière de rester jeune, en refusant le confort inévitable, savoir s'adapter et prendre son parti, ne pas avoir peur de l'inconnu. Il faut garder une place à la surprise, on se sent vivre dans l'incertitude du moment...
Route sur le canal, pour juste 55 km.
Le temps s'est calmé, frisquet le matin, mais c'est zen et apaisant d'évoluer dans cette ambiance détendue. La route est moyenne, mais assez roulante, sachant que ma roue avant a souffert des chocs et il faudra réparer...
Je rencontre des fans du canal et d'autres qui me dépannent de rustines, j'avais fini mon stock, merci bien à eux :-)
Ils ont fait un site à voir :
http://lecanaldumidiapied.free.fr/index.php
Ça été un plaisir de causer , beaucoup de valeurs communes.
Notre rencontre s'est faite à l'écluse de la Méditerranée, sur le bief qui sépare les eaux des deux côtés de la France, à l'est et à l'ouest.
L'idée de Pierre-Paul Riquet de faire ce canal qui relie deux mers a été géniale, en l'alimentant par la retenue du St Féréol. Imaginons le travail manuel de ces ouvriers, qui avaient d'ailleurs esquissé un début de sécurité sociale à l'époque.
On quitte l'Aude pour la Haute-Garonne, ce ne sont plus les mêmes moyens, grand luxe tout d'un coup ! C'est flagrant, à voir l'état de la chaussée du chemin de halage.
Réveil tôt, la circulation urbaine est bien présente, après le vidage des poubelles dans la nuit. Pas trop froid, finalement, avec mon petit sac de couchage.
8h, c'est l'heure de partir, vers un café qui va réveiller les neurones.
Bien dormi, malgré le béton brut, la fatigue était là.
C'est quand même une bonne manière de rester jeune, en refusant le confort inévitable, savoir s'adapter et prendre son parti, ne pas avoir peur de l'inconnu. Il faut garder une place à la surprise, on se sent vivre dans l'incertitude du moment...
Castelnaudary, 8 h du matin |
Route sur le canal, pour juste 55 km.
Chantier de réfection de la chaussée |
Je rencontre des fans du canal et d'autres qui me dépannent de rustines, j'avais fini mon stock, merci bien à eux :-)
Ils ont fait un site à voir :
http://lecanaldumidiapied.free.fr/index.php
Ça été un plaisir de causer , beaucoup de valeurs communes.
Notre rencontre s'est faite à l'écluse de la Méditerranée, sur le bief qui sépare les eaux des deux côtés de la France, à l'est et à l'ouest.
L'idée de Pierre-Paul Riquet de faire ce canal qui relie deux mers a été géniale, en l'alimentant par la retenue du St Féréol. Imaginons le travail manuel de ces ouvriers, qui avaient d'ailleurs esquissé un début de sécurité sociale à l'époque.
On quitte l'Aude pour la Haute-Garonne, ce ne sont plus les mêmes moyens, grand luxe tout d'un coup ! C'est flagrant, à voir l'état de la chaussée du chemin de halage.
J'arrive très tôt chez Yveline, une Bretonne exilée, qui a gardé ses repères de son pays et qui vit dans un habitat partagé, le rêve quand il est bien géré, avec beaucoup de dialogues pour garder la sérénité indispensable.
Bref, une journée cool, on l'a bien méritée, à la fin !!!
A demain sur le vélo
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