mercredi 11 septembre 2024

Des noms à l'envers

 Dimanche 8 septembre

Je quitte Gaelle et Rémi sous un grand soleil, avec les indications fournies, je suis un itinéraire pas trop cabossé dans une belle campagne d'élevage bovin, très bucolique et paisible.


Déjà, je vais vers Besse et ça monte, pas normal ! Un superbe village médiéval et renaissance, une ambiance paisible et bon enfant, pas trop de monde. Le temps de faire quelques courses, du cantal vieux et une bouteille de vin bio pour les futurs hôtes, normal quoi.

Deuxième anomalie, je continue vers Super Besse, et là une très longue côte sur une route passante, cherchez l'erreur !

Je continue à grimper jusqu'au moment du petit repas frugal de la mi-journée, une pomme et un peu de fromage et de pain,  et je m'arrête où ? 

Je passe sur un plateau  à 1200 m et c'est parti vers le Cantal, en longeant plusieurs lacs hydro-électriques qui ne font pas toujours le bonheur des riverains pour des questions d'enlisement.

Je descends donc au moins 700 m sur 20 km pour arriver où ? A Saignes qui porte mal son nom car j'y arrivé sans trop de peine, et sans perdre une goutte de sang !

Rien compris !

 

Je suis reçu par Hugo, un Belge Flamand qui est un puits de science sur le domaine cycliste, il connaît tout, possède plein de vélos différents et est aux petits soins pour chacun. Il a roulé des milliers de km, avec des étapes de 250 km par jour,  de la folie pour moi !

Le fada du Puy Mary

 C'est donc naturellement qu'il se met à revoir mon petit vélo à 300 €, lui que ne compte pas en milliers pour ses différentes montures. Nettoyage dans les règles de l'art, et constat du bruit anormal sur la transmission : le grand pignon est en contact avec le petite roulette dessous, ce qui me prive d'un développement important dans les grosses côtes. A revoir à Aurillac...

Aux petits soins sur la chaîne

A demain sur le vélo



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