Mardi 8 octobre
Il fait bien frisquet ce matin, ciel clair et brume sur le lac de Naussac. Il y a une pureté dans l'air, on se sent bien dans la montagne.
Au-revoir à Hélène et route sur les petites voies communales, tranquille peinard, sans voitures. La pente est douce dans monts de la Margeride, j'apprécie tous ces moments magiques, seul avec mon vélo, dans le silence de cette nature, si bien entretenue par les pâturages.
Je me se sens tellement bien dans ces espaces, que je n'ai pas envie que ça s'arrête, prolonger ces moments de plénitude. Ça me rappelle les pèlerins qui, une fois arrivés au terme de leur voyage, veulent le poursuivre, sans les vicissitudes de la vie quotidienne. Mais bon, restons raisonnable, et surtout, bientôt, je vais retrouver les miens !
Je débouche alors sur la nationale 88, qui monte vers le col de la Pierre Plantée à 1264 m, mon premier col ! Pas très chaud, là-haut, un petit vent s'est levé, il me freinera encore !
Je discute avec des touristes de Joigny dans l'Yonne, maraîchers de leur état, qui m'indiquent la particularité de ce lieu. C'est un point de partage des eaux, entre le Rhône, la Garonne et la Loire, lieu unique en France.
La descente vers Mende à 640 m d'altitude est rapide, parfois 7% sur des kilomètres. Bien surveiller ses arrières, beaucoup de circulation, camions surtout. La chaleur revient, la température est estivale arrivé à Mende. Un petit tour dans la Préfecture de la Lozère, 10 000 habitants tout de même, 70 000 dans tout le département.
Je trouve bien le domicile de Jeanine, cousine de Pierre déjà rencontré à Beauzac, et de Roger. Ils sont intarissables sur leur pays, dont ils connaissent les moindres recoins. Elle fut maire de sa commune, juriste de son métier, et Roger a travaillé comme ingénieur dans les eaux et forêts. Amateurs de chevaux, de surcroît.
Sympa de m'accueillir, ils ne me doivent rien, après tout ! Encore une maison qui s'ouvre et une relation de sympathie qui s'installe.
A bientôt sur le vélo !
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| Brume sur le lac de Naussac |
Il fait bien frisquet ce matin, ciel clair et brume sur le lac de Naussac. Il y a une pureté dans l'air, on se sent bien dans la montagne.
Au-revoir à Hélène et route sur les petites voies communales, tranquille peinard, sans voitures. La pente est douce dans monts de la Margeride, j'apprécie tous ces moments magiques, seul avec mon vélo, dans le silence de cette nature, si bien entretenue par les pâturages.
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| Le village d'Auroux, bien exposé |
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| Des vaches Aubrac, des yeux à la Sophia Loren |
Je me se sens tellement bien dans ces espaces, que je n'ai pas envie que ça s'arrête, prolonger ces moments de plénitude. Ça me rappelle les pèlerins qui, une fois arrivés au terme de leur voyage, veulent le poursuivre, sans les vicissitudes de la vie quotidienne. Mais bon, restons raisonnable, et surtout, bientôt, je vais retrouver les miens !
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| Un bon numéro ! |
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| Mes premiers moutons de Lozère |
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| Tout seul, mais peinard ! |
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| La source du Chapeaurouge qui alimente le barrage de Naussac |
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| Couleurs d'automne |
Je débouche alors sur la nationale 88, qui monte vers le col de la Pierre Plantée à 1264 m, mon premier col ! Pas très chaud, là-haut, un petit vent s'est levé, il me freinera encore !
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| Mon premier col |
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| Didier et Andrea, voyageurs aussi vers Madagascar |
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| A lire entièrement ;-) |
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| La symbolique de la stèle |
Je discute avec des touristes de Joigny dans l'Yonne, maraîchers de leur état, qui m'indiquent la particularité de ce lieu. C'est un point de partage des eaux, entre le Rhône, la Garonne et la Loire, lieu unique en France.
La descente vers Mende à 640 m d'altitude est rapide, parfois 7% sur des kilomètres. Bien surveiller ses arrières, beaucoup de circulation, camions surtout. La chaleur revient, la température est estivale arrivé à Mende. Un petit tour dans la Préfecture de la Lozère, 10 000 habitants tout de même, 70 000 dans tout le département.
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| Cathédrale Urbain V |
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| Ruelle contre le vent et la chaleur |
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| Une belle préfecture ! |
Je trouve bien le domicile de Jeanine, cousine de Pierre déjà rencontré à Beauzac, et de Roger. Ils sont intarissables sur leur pays, dont ils connaissent les moindres recoins. Elle fut maire de sa commune, juriste de son métier, et Roger a travaillé comme ingénieur dans les eaux et forêts. Amateurs de chevaux, de surcroît.
Sympa de m'accueillir, ils ne me doivent rien, après tout ! Encore une maison qui s'ouvre et une relation de sympathie qui s'installe.
A bientôt sur le vélo !
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