Vers le centre du centre

Vendredi 14 septembre

Réveil tôt, et Gervais a déjà nourri les poules, il s'est mis à façonner le pain avec Sylvie, le four est allumé pour enfourner à 9h. Ça ne traîne pas !








Je remballe tout, une veste de vélo en moins (???)

Encore merci pour cet accueil simple
 et sympa :-)





 Je remonte vers Chartres, 36 km pour reprendre ma route là où je l'avais laissée, passage en ville par acquis de conscience :-(

On est toujours dans la Bauce, un champ d'oignons taille XXL. Ici, c'est pas des rosés de Roscoff.

Beaucoup d'éoliennes, 2 MW, rien  n'arrête le vent dans les plaines !

Une mini-tornade qui se forme sur la terre nue et chauffée

La Seine -Et-Oise, département qui entourait Paris avant les 91, 92, 9-3...

Voilà la région parisienne ;-)

Étang à Rambouillet pour une pause fruits secs

 Une discussion s'est engagée  ici avec un médecin humanitaire dans l'Afrique, évoquant Ebola et les ravages de la soude pour fabriquer les savons, un autre enfant qu'on a voulu supprimer dans de l'eau bouillante ... Il avait un air fatigué et abattu,  mais prêt à payer de son propre argent pour sauver des enfants si attachants...

Toujours briser la glace de l'anonymat et établir le contact, c'est le but de ce voyage !



Bon, après c'est l'arrivée par la vallée de la Chevreuse, bien agréable avec les longues pistes cyclables, puis l'enfer des voies de circulation de la banlieue qui se croisent et dans lesquelles on perd ses repères. Manque de précision des cartes ...et du cycliste.

Heureusement Michel, le père de Vincent, m'a indiqué la gare de Trappes où il est venu à ma rencontre :-)

Çà faisait 126 km, compte tenu du handicap du départ, record battu encore une fois !

Arrivée donc chez les parents de Vincent, Marie-Claire nous a concocté un petit repas bienvenu après la frugalité de la journée.