Mercredi 3 septembre
Réparation de mon garde-boue cassé dans le chemin creux, on y est arrivé, à deux anciens profs de techno.
Que de connivences dans ces quelques heures passées ensemble, il se créé des liens affectifs toujours intenses, et on découvre des tranches de vie parfois douloureuses, partagées et comprises mutuellement.
Lucien et Agnès ont pris une bonne part dans le combat de Notre Dame des Landes, et j'ai eu la cartes des lieux chauds, que je pars rencontrer en cette belle matinée.
La fameuse départementale D 281 barrée, qui fut l'objet des combats avec les forces de gendarmerie, La Vache Rit, la Folandière, les espaces maintenant transformés en lieux de rencontres, de luttes pour les minorités, les cultures maraîchères vendues à prix libre à Nantes... Une utopie en marche.
Lény m'a fait visiter les installations qui se gèrent en autonomie d'eau et bientôt électriques.
Je passe l'Erdre à Sucé-sur-Erdre par des petites tranquilles, faut juste bien suivre la carte. Mon rythme est bien tranquille, histoire de récupérer de la veille, je ne ferai que 64 km ce jour, 19 km/h de moyenne, un train de retraité !
La Loire, c'est à Mauves queje la franchis, en prenant soin d'éviter Nantes et ses labyrinthes de zones commerciales moches.
On m'a dit que le chemin en bord du fleuve, c'est cool, ce qui est bien le cas, le revêtement est tout à fait correct, et PLAT, bien entendu !
Une belle montée pour faire les courses à La Varenne, histoire de ne pas arriver les mains vides, le vin bio, comme d'hab. La maison trouvée sans soucis, ça fait du bien.
Mylène et Gilles me reçoivent comme un roi, superbe cuisine concoctée par le chef, avec le pain aux prunes, spécialité locale qui va donner les forces de demain vers Trélazé, on est dans le Maine-et-Loire, entouré de vignobles.
Et encore des discussions entre profs, ça cause !
A bientôt sur le vélo !
Réparation de mon garde-boue cassé dans le chemin creux, on y est arrivé, à deux anciens profs de techno.
Que de connivences dans ces quelques heures passées ensemble, il se créé des liens affectifs toujours intenses, et on découvre des tranches de vie parfois douloureuses, partagées et comprises mutuellement.
Lucien et Agnès ont pris une bonne part dans le combat de Notre Dame des Landes, et j'ai eu la cartes des lieux chauds, que je pars rencontrer en cette belle matinée.
La fameuse départementale D 281 barrée, qui fut l'objet des combats avec les forces de gendarmerie, La Vache Rit, la Folandière, les espaces maintenant transformés en lieux de rencontres, de luttes pour les minorités, les cultures maraîchères vendues à prix libre à Nantes... Une utopie en marche.
Lény m'a fait visiter les installations qui se gèrent en autonomie d'eau et bientôt électriques.
Je passe l'Erdre à Sucé-sur-Erdre par des petites tranquilles, faut juste bien suivre la carte. Mon rythme est bien tranquille, histoire de récupérer de la veille, je ne ferai que 64 km ce jour, 19 km/h de moyenne, un train de retraité !
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| Sucé-sur-Erdre, un joli vieux-gréement |
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| La Loire à Mauves |
La Loire, c'est à Mauves queje la franchis, en prenant soin d'éviter Nantes et ses labyrinthes de zones commerciales moches.
On m'a dit que le chemin en bord du fleuve, c'est cool, ce qui est bien le cas, le revêtement est tout à fait correct, et PLAT, bien entendu !
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| Pépinière de ceps, du vin en devenir |
Une belle montée pour faire les courses à La Varenne, histoire de ne pas arriver les mains vides, le vin bio, comme d'hab. La maison trouvée sans soucis, ça fait du bien.
Mylène et Gilles me reçoivent comme un roi, superbe cuisine concoctée par le chef, avec le pain aux prunes, spécialité locale qui va donner les forces de demain vers Trélazé, on est dans le Maine-et-Loire, entouré de vignobles.
Et encore des discussions entre profs, ça cause !
A bientôt sur le vélo !
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